Non, dans cette nouvelle ère que propose notre monde... Il est certain, qu'il faille chercher et donc, trouver un sens audacieux. Mon parcours et IFPA correspond aussi à ce que je suis profondément. Dire "non" à la confusion entre l'artiste et son œuvre, c'est préparer le monde nouveau qui se dessine. C'est aussi affirmer que le professionnel et l'être doivent faire consensus, que notre comportement doit être en accord avec nos valeurs.
I. Dissocier l'artiste de l'œuvre : un impératif pour le monde de demain
C'est intéressant de savoir distinguer l'art de l'artiste. Cette dissociation est la clé pour appréhender la complexité croissante de notre société. Elle nous permet de juger l'œuvre pour ses qualités propres, tout en questionnant la moralité de son créateur.
Dire "non" à l'amalgame entre l'homme et l'artiste, c'est poser les fondations d'une nouvelle approche. C'est refuser les raccourcis simplistes, les jugements à l'emporte-pièce. C'est affirmer que l'art transcende les failles de son créateur, sans pour autant les excuser.
Mais ce "non" va plus loin. Il affirme que le professionnel et l'être doivent être en harmonie, que nos actes doivent refléter nos valeurs. Dans ce monde nouveau, il n'est plus possible de dissocier ce que nous faisons de ce que nous sommes. L'intégrité et la cohérence deviennent des impératifs.
Un geste audacieux vers le monde de demain. Il ouvre la voie à une réflexion plus subtile, plus adaptée aux enjeux actuels. C'est un "non" qui dit "oui" à la nuance, à la responsabilité individuelle, à l'alignement entre les paroles et les actes.
II. Le rôle du public dans ce nouveau monde
Le public a un rôle crucial à jouer. Il doit apprendre à exercer son esprit critique, à porter un regard éclairé sur l'art et les artistes. C'est à lui qu'il revient d'embrasser la complexité de chaque situation, de se garder des jugements hâtifs.
Dire "non" à la confusion entre l'artiste et l'œuvre, c'est aussi un appel à la responsabilité individuelle. Chacun est invité à se forger son propre jugement, à évaluer l'art selon des critères esthétiques et l'artiste selon des critères moraux. Mais c'est aussi une invitation à aligner son comportement sur ses valeurs, à faire preuve de cohérence.
Ce "non" est un pas vers un monde plus mature, plus apte à saisir les nuances. Il prépare un public capable de distinguer l'art de l'artiste, de reconnaître la part d'humanité du créateur sans pour autant l'exonérer de ses responsabilités. C'est un "non" qui appelle à une nouvelle éthique, où le professionnel et l'être ne font qu'un.
Dire "non" à l'amalgame entre l'homme et l'artiste, c'est dire "oui" au monde nouveau qui se profile. C'est poser les jalons d'une approche plus subtile, plus en phase avec la complexité de notre temps. Mais c'est aussi affirmer la nécessité d'une cohérence entre nos valeurs et nos actes, entre le professionnel et l'être.
Mon parcours et l'IFPA m'ont convaincu de l'importance de ce "non" audacieux. Il est le fondement d'un nouveau mode de vie, où l'intégrité et la responsabilité sont des boussoles.
c'est un appelle à aligner nos comportements sur nos convictions, à être pleinement nous-mêmes dans chaque sphère de notre vie.
Ce "non" est un appel à voir la complexité, à exercer notre jugement avec discernement.
C'est un "non" qui prépare un public plus mature, capable de dissocier l'art de l'artiste sans pour autant le dédouaner, mais aussi de vivre en accord avec ses valeurs.
L'art demeure le miroir de l'âme humaine, mais un miroir que nous apprenons à regarder avec un œil plus aiguisé. Dire "non" à la confusion, c'est dire "oui" à une vision plus juste, plus nuancée, plus intègre. C'est ouvrir la voie à une nouvelle ère de l'art et de la vie, où chaque geste est porteur de sens. Ce "non" est un pas audacieux vers le monde de demain, un monde que nous façonnons par notre engagement et notre cohérence.
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